Pour avoir travaillé en milieu scolaire, j'ai constaté le manque de lisibilité et l'absence de modèle opératoire pour la prise en charge des jeunes drogués. Il y a la prévention, mais il y a aussi la prise en charge quand la situation est déclarée.
Je rends hommage au travail des associations, pas toujours reconnu, alors que leurs moyens sont souvent insuffisants. Comment accompagner ces associations, madame la présidente ?
Par ailleurs, de quelle manière accompagner la communauté éducative, mais aussi les parents, souvent démunis ? Je pense en particulier aux infirmières scolaires, trop peu nombreuses sur le territoire.