Toutes ces personnes auraient une vision consolidée des comptes publics, et arrêteraient ainsi de tenir un discours syndical. J’ai lu l’avis du Comité des finances locales présidé par M. Laignel : on ne peut pas continuer comme ça, on ne peut pas continuer à accuser en permanence l’État de tous les maux, tout en lui demandant éternellement des compensations !
Nous aurions donc intérêt à réunir tout ce petit monde. Nous éviterions ainsi bien des déboires, car les chaises ne resteront pas vides. Il n’y aura pas, dans cette conférence, de CGT, de FO, pour quitter la salle. De quoi discutera-t-on ? Des interactions, parce que tout se tient, et de la nécessaire solidarité à l’égard de l’État.