Extrêmement stable, ce pesticide pollue les sols pendant son utilisation mais aussi après, et plusieurs siècles après ! Il faut donc envisager dès à présent la poursuite de ce plan pour les prochaines années.
Je souhaite aussi souligner notre inquiétude concernant certaines décisions récentes, qui semblent aller à l'encontre de ce plan. Je pense notamment à l'arrêté du préfet de Guadeloupe du 13 juillet 2012 – suspendu depuis par le tribunal administratif de Basse-Terre – qui autorisait l'épandage aérien de pesticides dans les bananeraies de l'île. De tels arrêtés, comme pour les algues vertes, ne sont-ils pas contradictoires avec l'objet même de ces plans ?