Vous avez fait état du « désarroi » des familles. Est-ce vraiment de cela qu'il s'agit, ou de complicité ? D'autre part, la radicalisation se fait souvent en prison, et une certaine association connue pour apporter un soutien moral, spirituel et aussi financier aux détenus est en réalité une organisation salafiste ; pourquoi n'est-elle pas interdite et démantelée ? Dans un autre domaine, jugez-vous efficace la coopération entre les États dans la lutte contre les réseaux djihadistes ? Enfin, estimez-vous suffisants les moyens alloués au renseignement ?