L’article 20 vise à supprimer les pratiques commerciales susceptibles d’influer sur les prescriptions d’antibiotiques en médecine vétérinaire.
Si cette disposition n’apparaît pas sujette à critique dès lors qu’elle s’applique aux ayants droit prescripteurs, elle est en revanche totalement illégitime pour les pharmaciens, ayants droit non prescripteurs, qui ne peuvent pas influer sur les quantités – ou qualités – d’antibiotiques prescrites.
Je rappelle qu’il ne s’agit pas d’opposer vétérinaires et pharmaciens mais de préciser qu’ils n’exercent pas les mêmes métiers.