Le CNDS, d'abord, dont la mission première est d'aider les projets locaux afin de permettre une bonne homogénéité des structures sportives sur le territoire, est au bord de la faillite avec des engagements de 100 millions en 2012, supérieurs aux recettes de l'année, et des dettes cumulées qui s'élèvent quasiment à 500 millions. Malgré cela, il s'est engagé à hauteur de 160 millions pour les stades de l'Euro 2016. Et il semble que 40 millions de dépense restent à financer sur sa trésorerie.