Nous avons mis en place l’observatoire de la consommation des terres agricoles. Les objectifs de cet observatoire sont bien sûr la mesure de ce qui est consommé, mais on va – et on doit – y intégrer les terres délaissées. J’y ajouterai, au-delà de ces terres et de leurs chardons, les anciennes routes goudronnées qui restent inutilisées aux abords des lignes de TGV ou des autoroutes.
Notre discussion de ce soir me donne à penser que, toujours dans le cadre de l’observatoire, il faut, et je pense à l’amendement de M. Dino Cinieri sur la reconquête des friches, intégrer cette dimension dans l’observatoire. Je pense que c’est très important. On va donc coupler la reconquête des friches et l’utilisation de ces terres délaissées pour mesurer leur superficie ; on réfléchira ensuite à l’utilisation possible. Parfaitement d’accord, donc, sur l’objectif : l’observatoire, aujourd’hui, est en capacité de le faire.
Donc avis défavorable.