Notre pays est trop bloqué par ces privilèges et par ces rentes : nous avons besoin de tourner davantage notre économie vers l’innovation. Cela concerne, bien sûr, les grandes entreprises, mais aussi, au premier chef, les PME et les PMI.
Enfin, notre politique est réformatrice, car rien n’est pire que l’immobilisme et l’enlisement. Il faut avancer. À cet égard, vous commencez aujourd’hui l’examen du projet de loi relatif à la délimitation des régions. Or on voit bien à quel point, au-delà du débat habituel entre progressistes et conservateurs, un autre clivage existe, qui oppose partisans de la réforme et partisans de l’immobilisme.
Monsieur le député, plus que jamais, la majorité, le Gouvernement et le Président de la République incarnent les réformes dont notre pays a besoin.