Le retour des Dibrani serait vécu par nos compatriotes comme une faillite et attiserait sans aucun doute la xénophobie, que la naïveté coupable de certains prétend combattre.
Monsieur le Premier ministre, pourquoi ne réformez-vous pas un droit d’asile trop lent et trop souvent dévoyé ? Pouvez-vous nous dire si tout sera mis en oeuvre pour éviter le retour des Dibrani ? Pouvez-vous nous dire si le chef, ce sera M. Dibrani ou vous ?