Je constate, pour ma part, quelques centaines de millions d’euros en moins.
On s’aperçoit aussi, vieille astuce, qu’à certains crédits budgétaires sont substituées des ressources plus aléatoires comme le produit de cessions immobilières, lesquelles ont d’ailleurs bien du mal à se concrétiser depuis quelques années. Au total, la loi de programmation militaire m’apparaît bien fragile.
J’en viens aux mesures de ce PLFR. Tout d’abord, sa mesure-phare, la baisse des impôts. Vous baissez les impôts après les avoir massivement augmentés. Vous reconnaissez donc que vous aviez eu tort, c’est une marque d’intelligence, mais la baisse prévue n’est pas à la hauteur…