Nous sommes en loi de finances rectificative. Je veux bien qu’on recommence in extenso tous les débats de la loi de finances initiale, puis de la première lecture de ce collectif, mais enfin je crois pouvoir me contenter, en nouvelle lecture, d’argumenter de façon assez succincte sur des éléments dont on a déjà eu à plusieurs reprises l’occasion de débattre.
J’en profite pour répondre à M. Estrosi, qui voulait s’exprimer cinq minutes, mais qui est déjà parti.