Je rejoins les propos de Charles de Courson. Je ne vois pas pourquoi, sur ces questions de traçabilité, nous serions plus exigeants vis-à-vis du tabac que vis-à-vis de l’eau pour les biberons des nouveaux nés, par exemple.
La traçabilité est assurée par l’entreprise mais celle-ci est sous le contrôle du ministère, comme Danone, par exemple, est sous le contrôle du ministère de la santé. J’ai rencontré des salariés inquiets, des organisations salariales inquiètes, dans une entreprise qui fabrique en France ; j’appelle l’attention de mes collègues sur ce point.