Monsieur le secrétaire d’État, je souhaiterais vous poser une question précise appelant une réponse précise. J’entends ce que vous dites, qui peut se comprendre. Mais imaginons le cas où des demandes de bourses pour des enfants scolarisés à l’étranger ne pourraient être satisfaites faute de crédits. Le Gouvernement serait-il disposé à revoir sa position ? Admettrait-il qu’il a commis une erreur d’appréciation et abonderait-il les crédits qu’il aurait malencontreusement diminués ?