Avant d’en venir à l’amendement no 5 , je veux dire à M. Guillaume Larrivé qu’il serait bon de suivre les choses du début à la fin. Cela donne un peu plus d’autorité pour être péremptoire.
Les propositions de la Chancellerie allaient plus loin que ce qui figure dans le texte, puisqu’elles visaient un élargissement plus important des prérogatives des forces de sécurité. Nous y avons renoncé à la demande du ministère de l’intérieur, qui a estimé que, pour la bonne organisation et l’efficacité de ses services, une telle extension n’était pas souhaitable.