Oui, si j’en crois les déclarations de tel ou tel qui s’y déclarent assez favorables, y compris sur les bancs de l’opposition. Le débat parlementaire le prouvera prochainement.
La carte que nous proposons aujourd’hui a une cohérence, celle de l’écoute, au service de l’intérêt général. Elle révèle aussi les coopérations, présentes et futures, qui permettront l’innovation et la croissance. Elle représente le plus grand dénominateur commun. Mais comme cela a été dit, il n’existe pas de carte idéale. L’idéal s’arrête parfois, et même trop souvent, à des visions territoriales, identitaires.
Nous avons bien conscience que ce nouveau découpage créera sans nul doute des frustrations…