Cela étant, de mauvais arguments ont été utilisés, aussi bien dans le camp politique que je représente que dans le vôtre. À ce sujet, même si nous sommes élus de la nation, je voudrais revenir sur le cas particulier de la fusion du Nord-Pas-de-Calais et de la Picardie. Si j’ai bien compris l’argument de Mme le maire de Lille qui, depuis sa défaite aux élections législatives, ne siège plus parmi nous et ne peut donc pas défendre ses arguments ici…