En fait, le Gouvernement nous propose deux étapes dans cette réforme structurelle : une première aujourd’hui avec de belles enveloppes aux contours incertains, une deuxième avec les compétences. C’est évidemment une erreur stratégique !
L’objectif de vouloir simplifier le mille-feuille administratif est louable, tout le monde y souscrit. Mais deux questions se posent. Quelles seront les économies réalisées ? Comment les perspectives de croissance seront-elles dopées par ce projet de loi ?
L’une des raisons de l’échec du référendum alsacien du 7 avril 2013 a été l’absence d’annonce d’économies, voire de baisses d’impôt attendues par les électeurs.