Il sait donc parfaitement ce qui est politicien et ce qui ne l’est pas. Il me demande si nous sommes ouverts et s’il n’est pas préférable de discuter d’amendements qui permettent de réussir une réforme plutôt que de la rendre impossible. Je lui confirme que nous sommes tout à fait ouverts à la discussion sur des amendements qui rendent possible une réforme plutôt que de la rendre impossible dans les jeux traditionnels et sectaires de la politique qui font que ce pays n’arrive jamais à faire de réforme.