Mais ces principes, monsieur le député, nous les avons définis à plusieurs reprises dans le débat : lorsque la motion référendaire a été présentée et dans mon intervention d’hier. Premièrement, un nombre de régions a été défini, qui nous paraît un optimum en deçà duquel nous ne voulons pas aller. Deuxièmement, nous avons souhaité travailler dans le respect des contours actuels des régions. Troisièmement, nous souhaitons un niveau de taille qui permette d’atteindre la moyenne européenne, c’est-à-dire un peu plus de quatre millions d’habitants. Ces principes sont ceux qui guident notre démarche. Nous les avons définis hier. En réponse à l’amendement que vous présentez, je les expose de nouveau aujourd’hui. Et comme je souhaite que nous puissions entrer dans l’examen des amendements à l’article 1er, je ne suis pas favorable à la suppression de cet article, parce que si on le supprime, on ne pourra pas l’amender.