Mais si, cela vous gêne, mais c’est la réalité. Chacun comprend qu’aujourd’hui, au niveau législatif, nous sommes dans la même cacophonie que le 2 juin au niveau présidentiel. C’en est le duplicata.
Je vous propose quelque chose de très simple, monsieur le président : pour organiser nos débats, il me semble indispensable qu’il y ait un vote, et non pas simplement un échange d’arguments, sur tous les grands sujets.