J’espère donc que le droit d’option nous permettra de créer cette connexion sans qu’une région ne tourne le dos à une autre.
Nous avons déjà la démonstration, dans la gestion portuaire de ce bassin méditerranéen, de notre défaillance collective. Combien de dizaines, de centaines de millions d’euros perdons-nous parce que deux régions se tournent le dos ? Et cela risque de continuer longtemps, alors qu’elles baignent depuis toujours, depuis les Grecs, dans un bassin, dans une mer intérieure qui s’appelle la Méditerranée.