En effet, déjà plus de 15 % de nos concitoyens renoncent à des soins pour des raisons financières, alors même qu'une autre étude de l'INSEE montre l'impact déterminant des services publics, notamment de santé, sur la réduction de la pauvreté des familles.
Par ailleurs, les communes, qui doivent faire face à une explosion de leurs dépenses sociales, ne pourront plus les assumer si l'État réduit encore leurs dotations.