Vous prétendez que non, monsieur le ministre, mais nous, nous en sommes sûrs.
Faites très attention à une chose : rien n’est garanti, il faut soutenir Strasbourg, l’État doit donner des signes forts. Aujourd’hui, vous avez l’occasion d’en faire un qui ne coûte pas cher en donnant un avis favorable à l’amendement de mon collègue Straumann. Mais, une fois de plus, j’ai l’impression que les Alsaciens font comprendre qui les défend.