Tout d’abord, je veux rendre hommage à la détermination des députés alsaciens, toutes sensibilités confondues, à défendre la place de Strasbourg et aussi, je dois le reconnaître, au rôle de Pierre Lequiller qui, lorsqu’il était président de la délégation aux affaires européennes, a toujours été très présent sur ce sujet, accomplissant un travail important.
Messieurs les députés alsaciens, vous ne pouvez pas avoir oublié que lorsque j’ai été nommé ministre délégué aux affaires européennes, il n’y avait pas de contrat triennal.