Il n’a pas fait ce choix, sans doute parce que la logique de la première proposition n’était pas évidente.
En revanche, le Gouvernement s’est montré inflexible sur un point précis : le redécoupage devra être fait sur la base des régions existantes, c’est-à-dire en fusionnant les régions actuelles, alors même que chacun sait que, à plusieurs endroits du territoire, il existe des aspirations à une réorganisation sur la base de la carte des départements.
Le seul cas de fusion entre deux régions existantes qui tombait sous le sens était celle des deux Normandie.