Mon parti est superbement représenté dans l’exécutif, c’est vrai, mais il n’a pas vocation à y demeurer éternellement. J’insiste : le fait que cinq des six présidents de groupe de l’Assemblée nationale ne votent pas un texte pourtant présenté comme la mère des réformes mérite réflexion. Or, comme personne ne semble s’interroger, je me pose des questions sur la suite des événements.