Ses réponses sont à la fois précises, posées et argumentées. Il souhaite dès lors, et je pense que c’est tout à fait son droit de l’exprimer comme il le fait, que les points qui ont déjà été éclairés par le débat public, dans les commissions et au cours des nombreuses heures que nous avons déjà passées ici ensemble, ne fassent encore l’objet d’argumentations infinies parce que cela suscite un effet de répétition qui n’éclaire pas plus nos décisions.
Cela étant, chacun est libre, dans le cadre du temps programmé, de s’exprimer comme il le souhaite.