La transparence, la morale publique et la vertu en république sont désormais des données de la vie politique. Nous le savons mieux que quiconque, nous qui avons vécu ici des heures terribles. Il faut donc donner à l’opposition les moyens du contrôle de l’action de la majorité. Il me paraît nécessaire de rappeler ce rôle essentiel qui est le sien.
Jadis, cela était inconcevable ; progressivement, les choses ont évolué et la présidence de la commission des finances de l’Assemblée nationale est désormais assurée par un membre de l’opposition.