Je salue l’arrivée du président Brottes, ancien président de l’Association nationale des élus de montagne, comme moi.
La France est la première destination touristique au monde, et les régions de montagne et du littoral y sont pour beaucoup. En montagne, les établissements d’altitude, notamment les restaurants, jouent un rôle primordial, été comme hiver.
La pratique autorisée par l’article 11 bis est courante dans les autres pays européens comme l’Autriche, l’Italie et l’Allemagne, concurrents directs du domaine skiable français.
L’encadrement de cette pratique permet également de mieux assurer la sécurité des clients, notamment par rapport aux engins de damage treuillés, de plus en plus utilisés dans nos stations de ski.
Enfin, en matière environnementale, l’encadrement et le guidage des clients la nuit permet d’éviter leur éparpillement, donc de mieux protéger la faune et la flore de nos domaines skiables.
Pour toutes ces raisons, je tiens à réaffirmer ce soir le soutien que j’apporte à cet important article 11 bis, introduit par amendement en commission.