« Il n’est pas trop tard pour réussir le quinquennat ». Cette critique acerbe et terrible ne vient pas des leaders de l’opposition, que vous caricaturez chaque semaine ici, monsieur le Premier ministre. Elle ne vient pas non plus de l’immense majorité des Français qui, à chaque élection, vous signifient leur mécontentement. Elle vient de votre propre camp politique, de votre camarade Martine Aubry.