Avant de conclure, je tiens à souligner le caractère exemplaire du travail mené sur ce texte par le Gouvernement et les parlementaires, ainsi que celui de Martine Pinville que je félicite tout particulièrement pour la qualité de son rapport.
Il faut donc saluer le cheminement des différentes modifications apportées en commission ou qui vont être proposées en séance. Mes chers collègues, je terminerai en exprimant un souhait : celui que notre discussion se déroule dans un climat constructif, comme lors des travaux de notre commission. Sur ces sujets, nous devons nous appuyer sur les sentiments d’humanité et de solidarité qui animent chacune et chacun d’entre nous.
Comme l’a joliment écrit l’écrivain japonais Haruki Murakami : « Ce qu’il adviendra pour chacun de nous, c’est un territoire inexploré dont il n’existe aucune carte ». Mais il est une chose dont nous pouvons être assurés, c’est que le vieillissement, que ce soit directement ou indirectement, nous concernera toutes et tous un jour ou l’autre. Je souhaite que chacune et chacun trouve son territoire dans cette carte.