Les caisses de retraite, en particulier la CNAV, incitent déjà leurs affiliés à procéder à de tels bilans. Plutôt que de systématiser une telle solution, ce qui serait à la fois onéreux et d’une mise en oeuvre complexe, nous préférons nous adresser à des publics prioritaires, définis selon des critères spécifiques tels que l’isolement, la précarité ou l’absence d’accès aux soins. En effet, il y a déjà toute une population de personnes âgées de plus de soixante-cinq ans qui bénéficie d’ores et déjà d’un excellent suivi médical. C’est pourquoi nous souhaiterions que vous retiriez cet amendement, à défaut de quoi nous émettrions un avis défavorable.