Monsieur Bussereau, nous sommes d’accords sur les trois principes qui ont présidé à vos interventions. C’est parce que nous voulons prendre en compte vos préoccupations dans le respect du droit que le Premier ministre aura sur ce sujet à s’exprimer devant l’Assemblée nationale pour vous donner satisfaction, ce qui devrait susciter votre reconnaissance, votre joie et votre plaisir.