La commission a rejeté cet amendement, mais j’y suis favorable à titre personnel.
Comme l’a dit Mme la secrétaire d’État, il importe que nous puissions disposer d’une évaluation de cette question sensible pour toutes les personnes handicapées, notamment, lorsqu’elles n’ont pas soixante ans.
Le rapport de l’IGAS, en 2011, indiquait que le déplacement de ces bornes d’âge aurait un coût mais qu’aucune évaluation relativement précise n’avait été faite. Or, nous avons besoin de connaître un peu plus exactement l’impact que cela pourrait avoir.