Certes, c'est celui de la France. Il reste que lors du quatre-vingtième anniversaire du CIF, il disait il y a huit mois à peine : « J'espère que c'est un partenaire qui va vivre encore très longtemps. » Cet organisme est en effet le seul à prêter à ceux qui ne trouve d'argent nulle part ailleurs.
Pour les deux raisons que je viens d'exposer, la trajectoire des finances publiques et la disparition du CIF, nous voterons contre les crédits qui nous sont proposés. (Applaudissements sur les bancs des groupes UDI et UMP.)