…conduiront à des recettes publiques moins élevées qu’attendues.
Cet été, nous avons fait un choix clair : ni hausse d’impôts ni économies budgétaires supplémentaires. C’est un choix politique. C’est un choix économique, car nous ne voulons pas entrer dans une spirale dépressive. C’est un choix social, parce que les efforts demandés aux Français, et ce depuis des années, sont déjà considérables.
Nous adaptons donc le rythme de réduction des déficits à cette situation. Par conséquent, le déficit des administrations publiques devrait se situer à 4,4 % du PIB cette année.