Le président de la Banque centrale européenne lui-même, Mario Draghi, a déclaré qu’il était prêt à d’autres types d’intervention pour soutenir la croissance.
Il a aussi recommandé que les politiques nationales structurelles soient accompagnées, au niveau européen, par une politique globale de la demande. Ces positions, ce sont celles que n’a cessé de porter le Président de la République depuis 2012. Le FMI, l’OCDE, de nombreux économistes, des chefs d’entreprise, les syndicats européens ne disent pas autre chose : il faut donc les écouter. C’est par l’investissement que l’Europe retrouvera une croissance solide et durable.
Le 17/09/2014 à 09:50, laïc a dit :
Le coût du travail est trop cher en Europe, on n'est pas compétitif internationalement par rapport aux pays émergents, c'est impossible d'attirer l'investissement dans ces conditions... Le prestige de la France n'est pas économique, mais historique et moral.
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