Aider nos entreprises, ce n’est pas un choix idéologique : c’est un choix stratégique pour la France ! Je n’ai jamais cessé de le dire depuis mon premier discours de politique générale ici même, et quel que soit le lieu où je me suis exprimé, parce que ce choix s’impose à tous.
Oui, la nation consent un effort sans précédent de 40 milliards sur trois ans. Mais cet effort exige que chacun soit à la hauteur de ses responsabilités. Le pacte, ce n’est pas un moyen d’augmenter les dividendes ou les plus hautes rémunérations.