Le pacte est là pour créer un climat de confiance, pour redonner des marges de manoeuvre aux entreprises – elles en ont besoin –et il doit se traduire en termes d’investissement, d’embauches, de formation ou d’accueil de jeunes en apprentissage.
Les partenaires sociaux ont décidé, il y a encore quelques jours, d’en discuter au niveau de chaque branche. Aujourd’hui, la majorité des branches professionnelles a engagé ou va engager les négociations. Mais, pour dix-sept grandes branches, les discussions n’ont pas encore démarré ! Il faut donc que les choses avancent ! La confiance doit être réciproque. Personne – et je le dis clairement au patronat – ne doit prendre le risque d’affaiblir, par je ne sais quelle provocation ou surenchère, l’indispensable dialogue social qui est la marque de ce quinquennat.