Remettre la République au service de tous, c’est aussi assurer un accès pour chacun à l’émotion, à la création, à la culture – une culture exigeante et populaire. La culture, c’est un moteur économique pour notre pays, pour son rayonnement, pour son attractivité, grâce à notre langue et à la francophonie, mais c’est aussi et surtout l’ouverture aux autres, la construction de l’individu, son émancipation.
Mon devoir, et notre responsabilité à tous, est de convaincre chaque Français que la République ne l’a pas abandonné, que le projet des populistes n’est qu’une impasse. Notre devoir à tous est de cesser de promettre les jours meilleurs,