Monsieur le Premier ministre, vous avez évoqué la gravité du moment : oui, le moment est grave, sur le plan extérieur comme sur le plan intérieur.
Vous avez invoqué de grands principes, de grandes valeurs ; vous avez évoqué les grandes menaces du monde, en particulier l’Irak et le risque terroriste devenu si aigu.
Pour que les choses soient claires, vous devez savoir que l’opposition parlementaire sera à vos côtés pour combattre ces barbares qui, au nom d’un fondamentalisme religieux, égorgent, décapitent, assassinent lâchement des innocents.