Dans la seconde quinzaine du mois d’août s’est joué un psychodrame, qui a ridiculisé le gouvernement de la France et le Président de la République. Vous ne vous êtes pas étendu dans votre discours sur cet épisode, qui a vu un ministre de l’économie, au-delà de désaccords de fond par ailleurs compréhensibles, abaisser la fonction présidentielle. Comment voulez-vous que les Français respectent un Président quand ses proches et ses propres ministres le ridiculisent à souhait ?