Nous ne le ferons pas plus aujourd’hui, car nous avons l’intime conviction que vos difficultés pourraient être les nôtres, que la crise morale qui fragilise nos institutions nous oblige à souhaiter votre réussite au service de la France.
La France vit à crédit depuis quarante ans : nous avons tous contribué à alourdir le fardeau de la dette, élections après élections, promesses après promesses.