Monsieur Jacob, j’ai déjà eu l’occasion de le souligner ici et il m’est sans doute plus facile de le dire que d’autres : j’ai toujours regretté les mots, les attitudes à l’égard de l’ancien président de la République, la manière dont on le traitait, principalement dans la presse mais pas seulement. Je peux donc dire ici avec la même détermination et la même force, en tant que Premier ministre, responsable politique et citoyen, que je n’accepte pas et n’accepterai pas les mots qui sont utilisés à l’égard du chef de l’État actuel, à l’égard du Président de la République François Hollande.