Vous ne voulez pas voir ce que nous accomplissons depuis cinq mois et les progrès que nous sommes en train de réaliser. J’aimerais que, vous aussi, vous soyez avec nous, comme avec les syndicats, comme avec beaucoup de chefs d’entreprises, qui se disent qu’il faut un changement, que l’Allemagne doit prendre ses responsabilités. Il faut que l’investissement, la croissance, le développement économique, l’emploi, les grands projets du futur et de l’avenir soient là.
Je demande que l’on sorte des postures, monsieur Chassaigne, que l’on sorte des mots et des facilités, pour que chacun soit là, présent, dans ce combat tout à fait essentiel.