Vous répondrez pour eux (Sourires) Parmi leurs prédécesseurs, qui conseillaient le ministre en 1989-1990, ou en 1998, l'un se trouve actuellement à l'Élysée, d'autres sont désormais de hauts dignitaires.
Pour ma part, je continue à plaider comme le militant de l'économie sociale que j'étais. Je veux défendre l'accession à la propriété mais aussi l'excédent social du CIF – dont personne n'a parlé ce soir – qui permettaient de conforter les familles les plus fragiles, les aidaient à se sédentariser, à débuter un parcours résidentiel, à acquérir une adresse.
Qu'il soit possible pour la banque Peugeot – PSA Finance – de continuer à travailler, alors que le CIF est condamné sans que lui soit laissée la chance de changer de modèle économique et de s'adapter aux temps qui courent, me pose question.