Je ne sais pas, monsieur Cherki, si c’est la mort dans l’âme ou le coeur léger que vous repartirez, mais il faut éviter les faux débats, qui pénalisent tout le monde. Le Gouvernement ne marque pas de pause dans cette affaire. Ce n’est pas parce que l’ensemble des préoccupations actuelles ne sont pas prises en compte qu’il ne faut pas rappeler, comme cela a d’ailleurs été fait à la tribune par beaucoup d’entre vous, que ce texte va donner lieu à des avancées importantes dans bien des domaines. Je crois qu’il serait préjudiciable à notre action et à sa valorisation de laisser entendre que le Gouvernement, par sa rigidité, marquerait une pause.
Cela étant, comme j’ai beaucoup d’affection pour vous…