Aucune contrainte ne justifie aujourd'hui que l'État remette pour partie la main sur la gouvernance et les investissements d'EDF. Nous avons changé d'époque : l'État socialiste ne privatise plus Rothschild, c'est plutôt Rothschild qui privatise l'État socialiste. (Sourires.) Adaptons-nous !
Cette loi a bel et bien un impact sur la valeur de l'entreprise et j'aimerais avoir votre éclairage à ce sujet, monsieur le président directeur général, en particulier sur l'indemnisation qui est un élément très concret. Si la fermeture d'une centrale est décidée, des questions financières se poseront or l'étude d'impact n'en dit rien.