Intervention de Julien Aubert

Réunion du 18 septembre 2014 à 15h00
Commission spéciale pour l'examen du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

Aucune contrainte ne justifie aujourd'hui que l'État remette pour partie la main sur la gouvernance et les investissements d'EDF. Nous avons changé d'époque : l'État socialiste ne privatise plus Rothschild, c'est plutôt Rothschild qui privatise l'État socialiste. (Sourires.) Adaptons-nous !

Cette loi a bel et bien un impact sur la valeur de l'entreprise et j'aimerais avoir votre éclairage à ce sujet, monsieur le président directeur général, en particulier sur l'indemnisation qui est un élément très concret. Si la fermeture d'une centrale est décidée, des questions financières se poseront or l'étude d'impact n'en dit rien.

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