Dans le second degré, le caractère national du recrutement et de l'affectation conduit des enseignants à assurer leur service loin de leur académie d'origine et de leur famille. Faute d'obtenir une mutation académique, certains d'entre eux demandent une mise en disponibilité, quand ils ne démissionnent pas. Pouvez-vous faire un état des lieux du système d'affectation ? Ne pourrait-on envisager, en lien avec les représentants du personnel, des modalités de mutation plus adaptées aux attentes des fonctionnaires de l'éducation nationale ? Cela contribuerait aussi à l'attractivité du métier d'enseignant.