Volontiers.
Nous avons la chance d'avoir de longue date un dialogue social ouvert et apaisé. J'ai succédé à un directeur des ressources humaines qui a passé 47 ans dans l'entreprise et a construit ce dialogue dans la durée, sachant ne prendre que des engagements qu'il pourrait tenir. Néanmoins, l'importance prise par la question de la réduction du temps de travail s'est avérée au détriment d'autres sujets. Quant au « stress », il est venu davantage d'intervenants extérieurs à l'entreprise, comme les inspecteurs du travail, que de la direction ou des partenaires sociaux.
Enfin, même si le groupe ne distribue pas de dividendes, il lui a fallu malgré tout modérer les salaires.